Spécialiste en chirurgie plastique, reconstructive et esthétique
Depuis 2016 | Chef du département de chirurgie plastique, Hôpital Universitaire Gent, Belgique |
Depuis 2014 | Chirurgien plastique mi-temps, Laclinic, Montreux, Suisse |
Depuis 2011 | Chef de l’équipe ‘Composite Tissue Allograft Program’, Hôpital Universitaire Gent, Belgique |
Depuis 2000 | Professeur en chirurgie plastique, Université de Gent, Belgique |
2007-2013 | Chirurgien plastique mi-temps, Clinique La Prairie, Montreux, Suisse |
2003-2007 | Chirurgien plastique mi-temps, Laclinic, Montreux, Suisse |
1996-2015 | Chef-adjoint, département chirurgie plastique, Hôpital Universitaire Gent, Belgique |
1995-2000 | Professeur-assistant, Département chirurgie plastique, Hôpital Universitaire Gent, Belgique |
1994-1995 | Chef de clinique, Hôpitaux Universitaires K.U.Leuven, Belgique |
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1998 | Doctorat en Sciences Médicales (Ph.D.), Faculté de Médecine, Université de Gent, Belgique |
1994 | Fellow of the Collegium Chirurgicum Plasticum, Bruxelles, Belgique |
1994 | Diplômé du “European Board of Plastic, Reconstructive and Aesthetic surgery” |
27.01.2022 La reconstruction mammaire : zoom sur les principales techniques et notamment la DIEAP Rencontre avec nos spécialistes. La reconstruction mammaire : zoom sur les principales techniques et notamment la DIEAP. |
28.10.2021 Octobre Rose : reconstruire un sein au naturel ? C’est possible! Avec l’épreuve du cancer et de l’ablation de leur sein, nombre de femmes font le choix d’une reconstruction chirurgicale de leur poitrine. |
Spécialiste de la chirurgie reconstructive, le Prof. Phillip Blondeel nous présente les trois techniques de reconstruction mammaire :
Cette dernière technique de microchirurgie consiste à transplanter des tissus prélevés du bas-ventre de la patiente - peau et graisse - et à les utiliser pour reconstruire le sein.
L'avantage de la DIEAP est qu'il s'agit d'une reconstruction à vie, qui ne nécessitera aucune nouvelle intervention, contrairement aux implants.
Ce qu'il est important de préciser est que les trois techniques sont prises en charge par les assurances maladie, ce qui assure à chaque patiente la liberté de choisir la technique la plus adaptée, en accord avec son médecin.